Force et faiblesseSimpkin, Marshall&Cie., 1858 - 400 pages |
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aime allait allez Amand Anglais Angleterre Anglicane assez aurait avez Bible bonne c'était chambre CHAPITRE chère chose cœur dame Dartlay demander Dieu dire disait doute Edouard Elise Emile enfant enfin êtes faiblesse Félicité femme Fifine fille frère George Vincent Greenholm GUERNESEY homme instant j'ai James Freeman Jésus jeune John Vincent jolie jour l'Abbé du Rocheret l'avait l'Eglise l'enfant l'Eternel Lady Vaughan laisser livres sterling m'en Madame Benoît Madame Blondeau Madame du Rocheret Madame St Mademoiselle Delacourt main maîtresse malheureux maman Martin ment mère miladi Miss Amy Miss Lamb Miss Mary Miss Potts Miss Vaughan monde monsieur musique n'avait n'est-ce Papiste pardon parler paroles passer Pauline pauvre pensée petit père petite Mathilde Place Vendôme pleurer prendre Protestant Protestantisme religion répondit rien s'était sais Sarah Sauveur savez semble serait seule sœur soir Stabbins trouver venait Vierge Marie voilà voiture voix voulait vrai Williams yeux
Popular passages
Page 313 - Véritables vautours, que le fils de Japet Représente, enchaîné sur son triste sommet. L'humble toit est exempt d'un tribut si funeste. Le sage y vit en paix, et méprise le reste : Content de ses douceurs, errant parmi les bois...
Page 169 - O combien d'actions, combien d'exploits célèbres Sont demeurés sans gloire au milieu des ténèbres...
Page 101 - Rien n'est beau que le vrai : le vrai seul est aimable ; II doit régner partout, et même dans la fable.
Page 247 - II passa dans sa chambre au sortir de la table; Et dans son lit bien chaud il se mit tout soudain, Où, sans trouble, il dormit jusques au lendemain.
Page 305 - L'ardente charité, que le pauvre idolâtre ! Mère de ceux pour qui la fortune est marâtre, Qui relève et soutient ceux qu'on foule en passant, Qui, lorsqu'il le faudra, se sacrifiant toute, Comme le Dieu martyr dont elle suit la route, Dira : Buvez! mangez ! c'est ma chair et mon sang.
Page 45 - N'espérons plus, mon âme, aux promesses du monde; Sa lumière est un verre, et sa faveur une onde Que toujours quelque vent empêche de calmer. Quittons ces vanités, lassons-nous de les suivre; C'est Dieu qui nous fait vivre, C'est Dieu qu'il faut aimer.
Page 85 - Chacun tourne en réalités, Autant qu'il peut, ses propres songes : L'homme est de glace aux vérités; II est de feu pour les mensonges.
Page 31 - Hélas! en guerre avec moi-même, Où pourrai-je trouver la paix ? Je veux, et n'accomplis jamais; Je veux : mais (ô misère extrême ! ) Je ne fais pas le bien que j'aime , Et je fais le mal que je hais.
Page 292 - Je vous donne un commandement nouveau, que vous vous aimiez les uns les autres; que, comme je vous ai aimés, vous vous aimiez aussi les uns les autres.
Page 301 - Ainsi toujours elle répare, et sa main secourable guérit toutes les blessures. Ici l'on se console des peines même du cœur, en admirant un Dieu de bonté, en pénétrant le secret de son amour; les revers passagers de notre vie éphémère se perdent dans le sein fécond et majestueux de l'immortel univers.